Retour de l’atelier-refuge

Entre avril et mai, j’ai eu la chance de passer une douzaine de jours à l’atelier-refuge du sentier des Lauzes, pour amorcer l’écriture de nouvelles « chansons qui soient vertes »… et faire quelques images.
De retour, je dérushe et développe, retrouvant la salamandre et l’incroyable vallée de la Drobie.


(D’un film en sommeil, pour le moment. Ces mains ont cueilli des mûres.)

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